Parallèlement à tous ces efforts, le projet a étudié la faisabilité de mécanismes de financement pour ces aires protégées (notamment droits d’entrées, contributions touristiques, mécénat et paiements pour services environnementaux - PSE). Deux ont été mis en œuvre aux Fidji et à Vanuatu :
- Un accord de conservation marine visant à financer la gestion du parc marin de Vatu-i-Ra ainsi que des bourses d’études par un système de contributions touristiques volontaires générant 6,000-12,000 EUR par an, via un fonds fiduciaire créé localement ;
- Un fonds de conservation sur Nord Efate, abondé par une contribution volontaire à hauteur de 10% du chiffre d’affaire des hébergements et activités touristiques communautaires, rapportant environ 9 000 EUR par an dont une partie sera dédiée à la gestion des zones tabou.